Vivre a Casablanca : Les cafés...
Hier, en vadrouillant tout prés de chez moi je me suis amusé à compter le nombre de cafés qui se sont installés dernièrement dans un rayon de presque 100 métres....ils étaient 6...(un record national).
Bref, comme on dit ici, entre un café et un autre vient s'implanter un 3éme...ils y'en a beaucoup, ils y'en a trop. à se demander ou est passé la créativité de ses investisseurs qui pense qu’a avoir un profit facile et qui ne font aucun effort pour réfléchir a des investissements plus intéressants et des concepts plus innovants, je me demande aussi comment ça ce fait qu’il y'a autant de monde dedans a n’importe quelle heure de la journée ???
Les cafés c'est une invention du 18éme siécle je crois, c'était un lieu qui réunissait des intellectuelles, des philosophes...venus discuter et débattre sur des sujets, des thémes.... Est ce que c'est toujours le cas ????
En invoquant cette idée, je me suis encore amusé a imaginer et vous présenter le profil des clients de ces établissements en fonction de l’architecture des lieux.
Mon analyse c’est terminée par identifier quatre profils différents (et amusant) :
Les bergaga/7anzaza : (traduction possible: lorgner,visionner,mater,surveiller,espionner) De sexe mal, généralement ils sont placés sur la terrasse, le bruit des klaxons et les gazs d’échappements ne les gênent vraiment pas vu qu’il sont la essentiellement pour inspecter les passants (et surtout les passantes).
Les passionnés : Généralement placer a l’intérieur des cafés et ils sont là pour perdre du temps tout en profitant de la télé équipé par les bouquets numériques privés pour suivre les matchs des championnats étrangeres.
Les couples : Placer a l’étage,ou en cave (oui les lieux sont exploités au max)préfèrent s’installer là pour échapper au regards des autres, garder une intimité et surtout éviter la surprise de croiser un père, un frére, ou même un ex jaloux ....
Les frimeurs : Les clients des cafés ou on trouve un étalage de portables de dernière génération sur toutes les tables (des lunette de soleil aussi), ou les gens préfèrent se ruiner en payant des consommations trop chère juste pour le plaisir qu’on les repère assis dedans.